Lundi 2 mai 2011 à 19:58

Une chanson parle parfois mieux qu'un texte :

http://www.youtube.com/watch?v=ub36ffWAqgQ


They say an end can be a start
Feels like I've been buried yet I'm still alive
It's like a bad day that never ends
I feel the chaos around me
A thing I don't try to deny
I'd better learn to accept that
There are things in my life that I can't control

They say love ain't nothing but a sore
I don't even know what love is
Too many tears have had to fall
Don't you know I'm so tired of it all
I have known terror dizzy spells
Finding out the secrets words won't tell
Whatever it is it can't be named
There's a part of my world that' s fading away

You know I don't want to be clever
To be brilliant or superior
True like ice, true like fire
Now I know that a breeze can blow me away
Now I know there's much more dignity
In defeat than in the brightest victory
I'm losing my balance on the tight rope
Tell me please, tell me please, tell me please...

If I ever feel better
Remind me to spend some good time with you
You can give me your number
When it's all over I'll let you know

Hang on to the good days
I can lean on my friends
They help me going through hard times
But I'm feeding the enemy
I'm in league with the foe
Blame me for what's happening
I can't try, I can't try, I can't try...

No one knows the hard times I went through
If happiness came I miss the call
The stormy days ain't over
I've tried and lost know I think that I pay the cost
Now I've watched all my castles fall
They were made of dust, after all
Someday all this mess will make me laugh
I can't ewait, I can't wait, I can't wait...

If I ever feel better
Remind me to spend some good time with you
You can give me your number
When it's all over I'll let you know
If I ever feel better
Remind me to spend some good time with you
You can give me your number
When it's all over I'll let you know

It's like somebody took my place
I ain't even playing my own game
The rules have changed well I didn't know
There are things in my life I can't control
I feel the chaos around me
A thing I don't try to deny
I'd better learn to accept that
There's a part of my life that will go away

Dark is the night, cold is the ground
In the circular solitude of my heart
As one who strives a hill to climb
I am sure I'll come through I don't know how
They say an end can be a start
Feels like I've been buried yet I'm still alive

I'm losing my balance on the tight rope
Tell me please, tell me please, tell me please...

If I ever feel better
Remind me to spend some good time with you
You can give me your number
When it's all over I'll let you know

If I ever feel better
Remind me to spend some good time with you
You can give me your number
When it's all over I'll let you know

If I ever feel better
Remind me to spend some good time with you
You can give me your number
When it's all over I'll let you know

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Je n'aime pas mal parlé ni insulté. Surtout des personnes que j'aime mais là je suis dégouté et je me retiens. Ma chère mère me disait que c'est en gardant pour soi les choses que l'on se rend malade...

Je sais que la catégorie d'âge des blogs n'est jamais très haute et en posant cette question je vais avoir des commentaires "enfantins" sans vouloir vous vexer (ou je n'en aurais pas vu que mon blog n'est consulté que par d'anciens blogeurs) Bref, pourquoi l'amour ? Pourquoi ce sentiment puisque comme tous ici je pense vous vous êtes une fois cassé la gueule et ça fait mal. certains me diront "oui mais c'est beau aussi, et puis il n'y a pas que la fin qu'il faut voir, il y a de beaux moments" Autant devenir un Don Juan ce "taper" n'importe qui, prendre le plaisir de la chair, de plaire et après on s'en bas.

Je suis vulgaire par la colère et je m'en excuse mais je ne change jamais ce que j'écris (ou très rarement)

La colère justement. La colère comme moyen d'exister.
Je suis d'une nature très gentille et conciliante et compréhensive aussi. Du coup, je m'écrase beaucoup face à ce que je veux ou même simplement souhaite. La colère... La colère nous rends parfois idiots car irréfléchis mais finalement pourquoi pas ? Si elle me permet de sortir de ce cercle de gentillesse et de compréhension. De toute façon la question ne se pose pas vraiment car je suis en colère mais je la retiens encore. Elle bouillone. Oui Lady M (Pelote aujourd'hui sur le blog) certaines personnes sont mauvaises dans certaines situations... Ou pour mon cas je serais plutôt dangereux. Dangereux pour moi et pour les autres. Dangereux à m'en faire peur. Je ne sais pas ce qui retiens exactement ma colère. Ma peur sans doute. La peur de ce que je pourrais devenir et faire.
Et puis, j'ai même envie que l'on me pousse encore un peu. Qui me fera exploser ? Le pauvre va s'en prendre plein la gueule. Je vais peut être changé. J'ai besoin d'être plus égoïste déjà...

Tu me rends mauvais...

Je suis bien triste.

Quand l'amour trébuche sur la peine, la colère regarde la haine et lui dit : "Alors on y va ?"

Mercredi 2 mars 2011 à 21:59

Il ne sert à rien de faire semblant...

Je n'ai pas les mots mais les chansons oui et vu que je n'arrive pas à les mettre sur ma page je vous laisse les liens...

http://www.youtube.com/watch?v=cpW6RxXSIK4&feature=BF&list=QL&index=4


http://www.youtube.com/watch?v=3KCzGEae-y0&feature=BF&list=QL&index=2






Mercredi 19 janvier 2011 à 22:44

Il est temps que je me remette à l'écriture sur ce blog qui m'avait tant apporté.



Que faire quand tes choix ne te conduisent pas au bonheur ? Pourquoi les questions que tu te poses ne te conduisent pas à la vérité que tu veux entendre ? Au moins une fois ?

J'ai ouvert mon cœur et lâché un amour plus gros que moi. Maintenant que nous ne nous parlons plus pour le bien de chacun, j'ai perdu non seulement un amour mais aussi une amie. Et tu me manques.


Mais je suis fort et je me relèverais.

 

Je me relèverais du chômage.

 

Je me relèverais de ma famille et de son passé.

 

Je me relèverais des difficultés que la vie peut poser sur ma route.

 

J’aurais aimé que tu me vois. J’aurais aimé que tu sois là.

 

J’ai eu un amour tel pour toi que pour ne pas t’assommer avec, aujourd’hui, je suis obligé de m’éloigner de toi. Je suis obligé de prendre de la distance. Et mon caracatère me fait prendre autant de distance que je peux t’aimer. Je ne peux pas être près de toi, près de vous. Et je ne veux pas me montrer à toi comme ça. Je veux que tu me vois beau, souriant, heureux. Donc je te laisse avec mon souvenir et je garderais le meilleur du tien.

 

Mon ange, je t’aime encore. Mais ça passera. Tu m’oublieras et je devrais en faire autant aussi. Du moins si je ne peux t’oublier j’essaierais de nous oublier.

http://pitchou.cowblog.fr/images/kamac97cc.jpg

Certains diront que je fuis mes problèmes en tentant de quitter la ville comme je le fais. Disons surtout que je veux les résoudre. Nouvelle vi(e) lle.

Je ne peut même pas raconter mon histoire comme je le souhaiterais mais bon. Pour ceux qui me suivent ou qui prendront le temps de me lire sur d'autres articles, ils comprendront.

Je vous souhaite à tous bonne nuit.

xXx



Lundi 17 mai 2010 à 6:27

Bonjour,

Mon blog, mon journal intime, le lieu où je peux déposer toutes mes pensées sans craindre le déshonneur...

Il est 5h57 te je n'arrive plus à dormir... Je... Je n'arrive même pas à écrire ce que j'ai. Et pourtant je le sais bien. Je ne comprends pas tout, ou plutôt je préfère me le cacher.

J’ai connu cette situation mais dans un autre rôle. Dans le rôle du trahi. Et là j’ai le rôle du traitre. Je ne sais plus quoi faire… Je n’ai pas suivi l’un des Dix commandements… « Tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne : rien de ce qui lui appartient. »

Après une soirée arrosée, je me suis retrouvée dans ses bras pour dormir. Un bisou dans le cou, un autre… Stop ! … Puis un autre… Stop ! Non, tu n’as pas le droit. Oui mais tu en as envi. Ne leur fait pas ça, ne te fais pas ça. Ne mélange pas tes sentiments, ne change pas la situation de cette manière. Mais c’est déjà trop tard ! Alors arrête tout maintenant. Mais je ne veux pas. Je me sens enfin bien quelque part. Comme à la bonne place. Ce n’est pas la tienne… Non ce n’est pas la mienne. Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah. MERDE ! Et toi l’amie pourquoi es tu là ? Tu veux être là aussi ? Alors que fait-on ? Je sens ton désirs, je le provoque, je l’entretien… Mais… ? Mais… Non… ? Moi je suis faible mais tu n’as pas le droit d’en faire de même. Alors je vais t’arrêter. Non je n’arrive pas. Alors je vais juste limiter ce qui se passe... au minimum.

Le minimum… Le minimum… On a franchit trop de limites. Pas toute, heureusement. Mais trop quand même. Et aujourd’hui, je me réveille avec ton nom comme première pensée et l’envie de te prendre la main… Tu m’avais même prévenu que « demain serait difficile » et je le savais mais je préférais repousser ce « demain » au plus loin. Bonne décision ? Et moi qui me vante de savoir réfléchir, peser le pour et le contre, analyser les situations pour en tirer le meilleurs sans risque. Est-ce que c’est ce que j’ai fais ? Prendre le meilleur ? J’en ai juste oublié le risque qui aujourd’hui me hante.

Je m’en veux par rapport à lui, je m’en veux par rapport à nous. On fait semblant de rien mais je n’arrive plus à te regarder pareil. Je connais le gout de ta peau, l’odeur de tes cheveux et mes sens me rappellent ce que je n’aurais jamais du connaitre. Je ne peux pas t’en parler, et encore moins à lui.

Je dois être seul. Seul dans mes pensées. Je dois être fort pour nous trois. Pour lui qui ne sait pas et que je ne veux pas faire souffrir. Pour toi, à qui si j’en parle, pourrais s’en rappeler comme moi aujourd’hui (même si j’ai du mal à croire que tu l’aies vraiment oublié) et pour moi. Se taire. Ravaler sa salive. Je me suis même surpris à avoir deux doigts devant la bouche quand je t’ai vu hier. Deux doigts qui cherchaient à taire mes pensées…

Ça me… tue.

 

Lundi 11 septembre 2006 à 12:06

On aimerai tant que la vie soit plus simple...

J'ai passé, et je suis encore dedans, les pires vacances que l'on puisse avoir. Enfin je touche du bois ça peut toujours empirer... Entre décès, rupture, maladie, pleures je suis épuisé de soutenir tout le monde et de finalement me retrouver si seul à la fin. J'ai envie de vomir tout ce qui s'est passé depuis 1 mois juste pour le faire sortir de moi...

J'ai peur, je suis triste et je doute. Il paraît que je grandis, que c'est la vie tout ces évènments. Moi je n'en peux plus.

De ma rupture, je me suis rendu compte en discutant avec un ami que je n'avais pas beaucoup d'éstime pour moi, que je ne pensais pas à moi, à mon bonheur si on veut. Ca m'a fait bizarre que se soit aussi clair tout d'un coup. Je n'aime qui j'ai été ni qui je suis et je ne me vois pas d'avenir alors c'est sûr que c'est un peu compliqué d'avoir de l'éstime. Mon ancienne copine ne m'a jamais rassurée voir même le contraire. Aujourd'hui que cela fait presque 3 seméaines que cc'est fini je réalise beaucoup de choses sur mon histoire avec elle. Je me souviens avoir été très amoureux d'elle et que je souffrais de sa froideur à mon égard. l'image qui me reviens le plus facilement c'est quand nous mangions ensemble dans dîner plateau-télé, j'aimais à la regarder tandis qu'elle regardait la télé. Ce sentiment que je lui donnait, que j'étais là pour elle mais qu'elle ne me voyait pas. Je sais et je savais que je l'ai toujours plus aimé qu'elle envers moi. Mais même si je sais que souvent dans les couples cela se produit j'en souffre.
    Beaucoup de questions dans ma tête auxquelles j'ai du mal à répondre copmme ses sentiments pour moi à ce moment là, etc...

J'ai mal. Je ne comprends pas. Même si je ne me considère pas comme extraordinaire je ne sais pas où j'ai foiré. Et puis est-ce que j'ai foiré ?

C'est vraiment très étrange d'avoir vécu 10 mois pour une personne et que celle-ci s'en aille. Du coup après j'étais perdu. Je ne savais plus quoi faire, pourquoi je faisais les choses. Plus de but, plus de motivation, plus de raisons à rien...

Aujour'dui il faut que je soutienne ma mère par rapport à son frère très malade, ainsi que mes cousins...

J'aimerais me coucher et que tout s'arrête

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