Voyage, neige, patinaoire, amour, deux, partir, vert, colline, seul...
J'ai envie de partir loin. Je ne sais pas vraiment où d'ailleur je ne crois pas que la destination est sans importance.
J'aimerais partir mais j'aimerais être accompagné. Accompagnée d'une personne du sexe féminin. Cette personne je la "conçois" aux cheveux long. Nous n'aurions pas de relation de compétition. Ni l'un ni l'autre ne devrait prouver à l'autre qu'il est "meilleur" ou qu'il sait plus de chose. Chacuns, nous serions l'élève et le professeur de l'autre. Chacun nous nous émerveillerons de chaques chose, paysages, personnes que nous croiserions durant nos... durant notre voyage. Il n'y en aurait qu'un mais un qui durerait longtemps.
Souvent... non. Parfois, j'ai une envie soudaine de quelque chose. Comme la patinoire. Envie de prendre le prochain train sans savoir où il va. Envie de tout quitter ou juste envie d'aller au cinéma. J'aimerais trouver une personne qui aurait ces même envies, qui même me les demanderait. Une personne à qui je ne devrait rien prouver, face à qui je tomberais toutes les barrières défensives que j'ai monté jusque là. Une personne qui n'aurait pas le "mot de trop" après un film. Voir même qui ne parlerait pas après les films pour rester encoe quelques instants de plus dedans. Une personne avec qui le silence serait... je ne sais pas... je ne trouve pas le mot. Une musique ? Peut être un peu trop romantique. Intense ? Pas assez précis. Magique ? Trop imaginaire. "Une personne avec qui le silence serait bien." Alors je fais ces chose seul. Non je ne prend pas le train et non je ne quitte pas tout d'un coup car seul cela n'a aucun intérêt. Mais je vais au cinéma et j'imagine ne pas être seul. Je rassemble chez tout les gens que je connais les aspects que je souhaiterais chez elle et voilà.
Pendant...euuh ? Pendant peut être 1 ou 2 ans je n'ai pas "vécu" ma vie. Pendant 1 ou 2 ans je regardais la télé après avoir fini le collège et je regardais Hartley coeur à vif. Pendant 1 ou 2 ans j'ai vécu ce que vivait les personnages de cette série. Si il se passait quelque chose de malheureux je me sentais mal toute la journée qui suivait et inversement jusqu'au prochain épisode et le dénoument heureux... Aujourd'hui je fais un peu la même chose avec mon imagination. Je vis seul avec moi même. C'est un peu une répétition mais prenez le "moi même" comme le nom que je donnerais à mes pensées.
Je n'arrive pas à la trouver cette "femme parfaite". Je vous entends déjà me dire en commentaire : "Mais ça n'existe pas la femme parfaite..." Je vous prierais d'éviter ce genre de remarque...
Quand j'étais petit, j'avais déjà ces "désirs" et je savais déjà que je ne pourrais pasla trouver j'imaginais alors que je devrais être père si je voulais pouvoir partir avec "quelqu'un" La mère serait morte en accouchant. Bah oui sinon c'est avec la mère que je serais partis. J'avais imaginé que je l'avais trouver cette femme mais que comme toute bonne chose dans ma vie, il y avait une fin mais qu'il me restait un enfant. Je pense que je serais un bon père. Enfin je crois. J'avais imaginer lui faire découvrir (à l'enfant) tout les pays du monde. Nous partions ensemble dans la forêt d'amazonie, en Inde... C'était ce que j'imaginais quand j'étais petit. Et c'était... et c'est bien.
Je me suis toujours trouver des "plans de secours" Comme ça les difficultés que je rencontre dans la vie me paraissent ridicule vu que de toute façon j'ai mes plans. Quand je parle de ça... quand je parlais de ça avec les gens, ils étaient toujours surpris de mes plans. Les gens se moquaient souvent. Ils ne comprennaient pas que ces rêves étaient tout ce qui me faisaient tenir. Quandon a un plan on a plus le doute et on peut avancer, se tromper. J'ai arrêté. Aujourd'hui j'en parle plus mais je les garde au fond de moi. C'est plus simple.
J'ai envie de neige. De pull-over irlandais. De feu de cheminée.