Dimanche 19 décembre 2004 à 21:09
Noël approche et vous ne savez toujours pas quoi lui offrir... Vous vous y êtes pris à la dernière minute et les magasins comme votre cerveau ont dû être dévalisé. Nous somme déjà le 22 décembre et il vous a dit que ce Noël serait inoubliable... Vous n'avez pas le droit à l'erreur et vous lui avez déjà fait le coup de la grand-mère malade l'année dernière.
Ne vous inquiétez plus nous sommes là pour vous...
Dimanche 19 décembre 2004 à 16:19
Je n'en fais jamais mais bon là... Je voudrais vous présenter une tite gamine qui me fait marrer.
On ne se connait trop s'est vrai... C'est l'un des seuls blogs qui arrivent à mélanger l'inutile, le drôle et l'intéressant... Je ne sais pas encore comment elle fait. Malgré ou grâçe à son jeune âge elle m'éclate complètement dans l'histoire de sa vie, de ses amis. Un blog que je ne peux que vous conseillez si vous voulez avoir le smile. Moi j'aime beaucoup.
Merci à toi.
Samedi 18 décembre 2004 à 20:21
Vivre sa vie en contresens
J'ai parfois l'impression de mener des combats perpétuels, fatiguants contre le non-respect, pour la liberté de choisir.
Beaucoup de personnes autour de moi cherchent à ce que je les copie, à ce que je sois dans la norme et si j'ose m'en écarter c'est l'incompréhension, le questionnement, le rejet, la rigolade ou la moquerie... Toujours obligé de justifier ces choix "différents"... Je suis végétarien, je suis un garçon avec les cheveux long, je ne fume pas, je bois rarement, je rote quand ça me prend... Ces points qui vous semblent banal au départ peuvent devenir un "combat" de tout les jours.
Combien de filles connaissent les questions : "Tu as les cheveux long depuis quand ? Pourquoi ?"
"Tu es végétarien ? Mais pourquoi ? Moi je pourrais pas me passer de viande..."
Les gens ont a souci de toujours tout reporter à eux.
La liberté serait-elle le fait de pouvoir dire "NON" ? Au départ peut être mais cela devient vite fatiguant.
Je mène ma vie en contradiction avec les gens et les normes pour que ceux à qui je parle ou qui me voient se disent "Quoi mais... ? Ah bah oui peut être en faite..." J'aimerais tant un jour que les gens arrêtent de se prendre la tête avec la vie des autres.
En même temps au début que j'ai commencé j'aimais être en contradiction. J'aime voir la tête de celui qui ne comprend pas. J'aime qu'il me parle qu'il essaie soit de comprendre soit de me faire changer. Depuis tout petit j'arrive à parler relativement aisément et je débat beaucoup. J'aime quand une personne qui ne connaissait que les a-prioris, les stéréotypes, toutes ces idées préconçues change. Non je ne souhaite pas que les gens deviennent moi (ce qui serait une jolie mise en abîme textuelle...) J'ai envie d'ouvrir les yeux aux gens leur montrer que l'on peut faire, être différent et pourtant : vivre, être heureux...
Je suis patient je connais cette qualité en moi depuis des année et j'essaie de l'employer dans ma lutte contre le "rejet" de la différence, pour le libre-choix (en supposant qu'il soit possible). J'utilise ma patience dans la démonstration qu'une autre vie est possible. Et si nos rêves pouvaient devenir réels.
Il n'est pas possible que je parle à quelqu'un d'un projet fou, d'une idée en l'air, sans qu'on me reprenne, que l'on essaie de me montrer "la ralité des chose". La douce réalité qui était là avant moi et qui me survivra. Mais non mon p'tit Pitchou c'est pas ça la vie... Et pourquoi pas. Et si jamais...
Je vous en prie, faites des choses folles. Suivez le chemin si vous le souhaitez ou coupez à travers champs si cela vous prend. Allez à la plage en hiver si vous en avez envie.
La vie est trop courte pour ne pas essayer d'en profiter.
Il est écrit la liberté commence là où s'arrête celle des autres. Et bien pourquoi pas... Et si jamais...
Vendredi 10 décembre 2004 à 19:39
Pierre XXXXXXX (1984-20XX) dit "Pitchou", homme français.
Il naquit à Nantes, eut une vie agitée mais s'en sortit sans trop de séquelles. Il fit des études de psychologie jusqu'au jour où son envie de voyager fut trop grande. 2 mois en été 2005 où il partit travailler à Londres le transformèrent. Il avait quitter la France, sa famille, ses amis et se sentait autant seul que bien. Rentrer en France en octobre de cette même année il n'avait plus vraiment de conversation et ne voyait plus personne. Il semblait pensif, agacé ou en tout cas "accaparé". Il passa sa 3ème année de psychologie sans la réussir mais il ne semblait pas s'en soucier. En juin 2006, il apprenait à tout ces proches son intention de "partir". Il avait décidé que s'en était assez. Il ne dit à personne où il partirait et on entenda plus parler de lui.
Certaines personne cependant déclarèrent l'avoir reconnu en Irlande dans un spectacle de claquettes irlandaises, d'autres dirent qu'il était parti en thaïlande où il serait mort dans un combat de boxe thaï, des proches à lui le pensaient devenu moine au Tibet et qu'il aurait été un ami proche du Dalaï-Lama, des rumeurs ont également laissé entendre qu'il serait allé vivre aux USA où il aurait créé une petite association d'aide aux handicapés visuels.
La dernière fois qu'il reprit contact fut par un courrier envoyé à sa mère en provenance du Vietnam disant qu'il allait bien, qu'il était heureux et que sa mère était devenue grand-mère par 3 fois de 2 filles et 1 garçon.
Fin
Mercredi 1er décembre 2004 à 16:41
Besoin de réconfort, d'être rassuré.
