Samedi 5 juin 2004 à 9:42

Rien qu'à mon titre je me demande si un jour je dirais que tout va bien dans un message...


 


   C'était jeudi soir. L'anniversaire d'une amie. Djembé, petit feu, pleins de gens. Moi j'atendais, je réflechissais à "je lui dit ou je lui dit pas ?" Charlotte...


   Finalement vers 3 ou 4 heures du matin je décidais de me lancer car je me retrouvais (forcé par une de ses amies) seul avec elle (enfin). Mais je vais quand même resituer l'histoire par rapport à elle. J'avais déjà écrit sur Charlotte, je voulais lui jeter un sort pour qu'elle ai du désir pour moi :)  Tout les messages que j'ai reçu me le reprochant... piouu. Je "rassure" ces gens, je ne l'ai pas fait. J'aurais peut être dû finalement. Elle venait de rompre avec son ami. je n'ai pas compris le pourquoi du comment de qu'est-ce qui se passait mais là tout de suite ils étaient plus ensemble. De mon côté je savais que je ne la reverrais pas avtn longtemps car elle retournait chez elle. C'est-à-dire loin (c'est aussi la raison qui me poussait à aller lui parler, qu'allais-je perdre puisque finalement de toute façon je ne la reverrais plus)


 Nous voici donc à ce moment tant attendu. Mon coeur battait à vouloir m'arracher la poitrine tellement que le moindre mouvement qui pouvait lui demander un autre effort me faisait souffrir. Ma réspiration était incontrôlable il y avait sans doute même risque d'hyperventilation... Mes mains, moites malgré la fraîcheur de la soirée, ne savait où se mettre dans celieu devenu si exigüe. Mes jambes avaient quelques difficultées à me soutenir sans doute avaient-elles envie de fuir ce moment et ce lieu. Je balbutiait, cherchait mes mots mais rien sinon des idées indépendantes et incompréhensible. "je... elle... enfin je veux dire... nan je ne sais pas... je..." Putain mais je t'aime, pensais-je. Oui bien sûr "pensais-je..." Alors que j' avais décidé de lui dire, que je ne pouvais plus me ridiculiser plus, son ami vint lui dire aurevoir. Il l'embrassa, je levit les yeux pour en connaître la signification, le lieu de son visage qui serait atteint par ces baisers et mon visage sourit à voir ses lèvres se poser sur sa joue seulement. Soulagement. Cela aurait été difficilement supportable de me faire endurer une épreuve comme celle-ci à ce moment là. Il commençait à partir quand elle murmura "je ne sais pas ce qu'il s'est passé..." Quoi ? "Avec G**** " Son visage fixé sur son départ, moi je devais assisté à la scène qui suivit. Elle le siffla. D'abord d'une manière essouflée, un petit sifflement que seul moi pouvait entendre. Elle prit une grande réspiration et sifla plus fort. Un sifflement "musical" snas doute un petit quelque chose qu'ils s'étaient créés ensemble, un langage. D'abord pas de réponse mais au bout du troisième appelle de la part de Charlotte, appelle qui me faisait l'effet de violent coup dans le coeur, il répondit. Je m'imaginais alors en un flash, elle coura,t vers lui, lui courant vers elle, le soleil venant se lever et célébrer leur nouvelle union... Mais au lieu de ça elle lui répondit. S'entrepris alors un dialogue entre eux auquel je ne pouvais rien comprendre et auquel je ne voulais rien comprendre sinon qu'il s'aimaient toujours. Ma réaction fut je crois juste. Je lui proposais d'aller le rejoindre. "Aller vas-y, va le voir... va..." j'en avais tellement envie ou plutôt j'avais tellement envie que cela s'arrête qu'elle se tourne vers moi me fasse un sourir et cesse de le regarder déséspérément. Je voulais soit qu'elle me parle soit qu'elle aile le voir mais pas ça, pas devant moi, pas maintenant.


 Finalement, d'un coup sec elle se tourna et partit de son côté retrouvé une de ses amies qui partaient. En 1 seconde je me retrouvais seul. Mes jambes cette fois-ci étaient bien décidé à ne pas rester là. Comment d'aileurs resté sur ce champs de bataille ce lieu de crime où mon coeur avait subit un violent coup. Jre partis donc. Je devais raccompagné l'amie à qui elle disait aurevoir et qui m'avait laissé lui parlé. Je restais à bonne distance de leur salut de telle qorte qu'elle ne vienne pas jusqu'à moi me dire aussi aurevoir. Leur aurevoir fait nous partîmes. Charlotte me lança un "aurevoir Pitchou" et moi, du même souffle coupé qu'elle même avait pû connaître il y avait encore si peu de temps je lui répondit un "bye" c'était sans doute un adieu d'ailleur... Je repartais avec l'amie à qui j'expliquais tout ce qui venait de se passer.


   Plus tard je lui envoyais un sms pour lui dire que j'avais essayer de lui dire que je l'aimais, que je ne cherchais rien dans cet aveu et que maintenant je lui souhaitais de bonnes vacances... Ce matoin une réponse que je ne voulais pas me disant qu'effectivement je n'avais rien à attendre d'elle sinon une amitié et... un "bonnes vacances quand même"  Quand même...


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