CARPE DIEM
J'aimerais bien tomber amoureux… en fait non être amoureux c'est triste tout le temps… C'est triste avant quand on atend et qu'on ne sait pas ce qu'il se passe, c'est triste pendant parce qu'on ne sait jamais s'il y a un VRAI retour, le doute s'inscrit, la jalousie voir même le manque de l'autre quand il s'absente… et puis cela est triste après… la rupture, la sollitude, le rejet. Mais je n'ai sans doute pas besoin de vous l'expliquer.
En faite je préférerais que l'on tombe amoureux de moi plutôt que l'inverse. Quitte à ne pas avoir les même sentiments. Plus de jalousie, plus d'angoisse. Juste ce sentiment d'avoir été choisi par quelqu'un.
L'amour, la mort sont sans nul doute les 2 sujets qui me préoccupent le plus en ce moment. Surtout le jours où il ne se passe rien, les dimanches par exemple. Je ne m'aime pas ces jours de néant absolus quand je pense à ces hommes et femmes qui eux n'ont peu être que cette dernière journée. Je me rends compte que je n'apprécis pas la vie à son maximum. En ais-je le droit ? Il y a bien des gens qui doivent vivre des vies de vide, où rien ne se passe. Comment considérer ces vies par rapport aux malades en fin de vie ou pire l'enfant en fin de vie. Je pense que ces personnes doivent mieux connaître le "plaisir de la vie" que moi. Qu'ils doivent vivre leur journée comme je vis mes mois.
Chaque jour je viellis un peu plus…
…ou chaque je vis un jour de plus.
Je crois que mes les jours où il se passe des malheurs "valent" plus que les "dimanches". Pourtant qui voudrait 1 semaine de malheur face à 3 jours de rien, face à 12 heures de bonheur ?
L'amour, la mort…
On veut tous l'amour mais si on le connaît, on en doute. Nous redoutons, presque tous, la mort mais nous ne profitons – on en tout cas nous ne nous réjouissons pas – de chaque nouvelle matinée.
L'amour, la mort.
Sans la mort pas d'amour car qu'est-ce que l'amour ? un sentiment née du néant ? Ou proviendrait-il du savoir de la perte inévitable de l'autre ? Nous savons tous (même si nous n'y pensons pas tout les jours) que nous allons mourir. Il n'y a pas d'altérnative. Et si l'amour provenait effectivement du savoir de la perte de l'autre, de la mort, faut-il pour autant apprécier la mort ?
Chaque jour un jour de moins, chaque jour un jour de plus…
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